Selon un communiqué de la présidence de la République, un nouveau gouvernement sera officiellement dévoilé, ce mardi 16 février 2010, dans l’après-midi, à Yamoussoukro. En attendant cette nomination, le Premier ministre, Guillaume Soro, s’est déplacé à Bouaké, dans le centre du pays, pour y rencontrer les responsables des ex-rebelles des Forces nouvelles (FN), le mouvement dont il est issu.
Le Premier ministre, arrivé dans la matinée, a présidé un conclave de l’ex-rébellion des FN dont il est le chef. A son arrivée à Bouaké, il a reçu les félicitations du ban et de l’arrière-ban des Forces nouvelles pour sa reconduction à la tête du gouvernement ivoirien. Cette réunion était très attendue car les ex-rebelles ne se sont toujours pas prononcés sur la situation politique, depuis la double dissolution, vendredi 12 février, du gouvernement et de la Commission électorale indépendante (CEI).
Les FN ont retardé leur réunion, initialement prévue lundi 15 février, pour permettre à leur chef de mener ses consultations auprès des leaders politiques à Abidjan. Lundi 15 février au soir, le Premier ministre est allé à Yamoussoukro, la capitale politique du pays, pour rendre compte au président Laurent Gbagbo et, mardi 16 février, dans l’après-midi, les deux hommes devaient justement s’y retrouver pour annoncer la composition du nouveau gouvernement.
Si cette annonce est confirmée, comme cela semble être le cas à la mi-journée, cela pourrait vouloir dire que les tractations ont été plus simples que prévu. Ce mardi 16 février, sur RFI, le député Martin Sokouri Bohui - chargé des élections au Front populaire ivoirien (FPI), le parti au pouvoir – militait pour un gouvernement de taille réduite composé de technocrates. Etait-ce une indication ? La réponse était attendue dans l’après-midi.
Le Premier ministre, arrivé dans la matinée, a présidé un conclave de l’ex-rébellion des FN dont il est le chef. A son arrivée à Bouaké, il a reçu les félicitations du ban et de l’arrière-ban des Forces nouvelles pour sa reconduction à la tête du gouvernement ivoirien. Cette réunion était très attendue car les ex-rebelles ne se sont toujours pas prononcés sur la situation politique, depuis la double dissolution, vendredi 12 février, du gouvernement et de la Commission électorale indépendante (CEI).
Les FN ont retardé leur réunion, initialement prévue lundi 15 février, pour permettre à leur chef de mener ses consultations auprès des leaders politiques à Abidjan. Lundi 15 février au soir, le Premier ministre est allé à Yamoussoukro, la capitale politique du pays, pour rendre compte au président Laurent Gbagbo et, mardi 16 février, dans l’après-midi, les deux hommes devaient justement s’y retrouver pour annoncer la composition du nouveau gouvernement.
Si cette annonce est confirmée, comme cela semble être le cas à la mi-journée, cela pourrait vouloir dire que les tractations ont été plus simples que prévu. Ce mardi 16 février, sur RFI, le député Martin Sokouri Bohui - chargé des élections au Front populaire ivoirien (FPI), le parti au pouvoir – militait pour un gouvernement de taille réduite composé de technocrates. Etait-ce une indication ? La réponse était attendue dans l’après-midi.
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