Voilà ce que je me tue à expliquer à tous depuis le début.
Les parties signataires des accords de Prétoria et de Ouaga savent toutes très bien de quoi il retourne.
La seule chose qui embête Gbagbo aujourd'hui c'est qu'il n'avait pas prévu perdre au moment où il signait ces accords. Il avait tout le monde, toute la jeunesse avec lui. Les effets de la propagande étaient encore forts et actifs.
C'est dommage, il aurait dû penser à cette éventualité.
Maintenant le pays est dans la merde mais il ne peut nier ce qu'il a signé. C'est pour cela que tout le monde lui demande de partir et que plus personne ne le soutient. Le boulanger s'est roulé lui-même dans la farine.
En pays akan , senoufo, krou, attié, malinké, un chef n'a qu'une seule parole !
LA NASSE DANS LAQUELLE GBAGBO S'EST FOURREE TOUT SEUL EST :
LA CERTIFICATION DES ELECTIONS !
La Certification des résultats par l'ONU - C'est La vérité que Gbagbo cache à ses militants
DE QUOI RETOURNE UNE CERTIFICATION ? QU'EST-CE QU'UNE CERTIFICATION D'ELECTION ? ET POURQUOI LES OCCIDENTAUX LE METTRONT HORS DU JEU ACTUEL ?
LA CERTIFICATION DANS LE CAS SPECIFIQUE DE LA COTE D'IVOIRE (les Particularités acceptées par tous)
CE QUE LES JEUNES DE YOPOUGON, DE OURAGAHIO, D'ABOBO, DE MAN , DE MAMA ET D'ABOISSO NE SAVENT PAS ET QUI VA CONDUIRE LA JEUNESSE A L'ABATTOIR. .. PAR LA MANIPULATION DES ESPRITS PAR GBAGBO ET SA CLIQUE.
VOICI ce que GBAGBO n'ouvrira jamais sa bouche pour vous dire que lui koudou laurent gbagbo a apposé sa signature sur un document qui nous conduit à une certification particulière des élections en RCI.
Au lendemain de la présidentielle ivoirienne remportée brillamment par Alassane Ouattara avec 54,1% des suffrages contre Gbagbo Laurent (45,90%), le Conseil constitutionnel a cru bon de mentir aux Ivoiriens.
Dans une pastiche, Yao Paul N'Dré, se fondant sur des ragots , d'ailleurs démentis par les différents rapports des préfets des régions incriminées, s'est empressé pour invalider le vote de sept départements pour déclarer son candidat- camarade vainqueur.
Au motif que seul le Conseil constitutionnel est la seule institution habilitée à donner les résultats définitifs. En effet, dans un Etat normal, cela ne peut se nier.
Mais dans le cas spécifique de la Côte d'Ivoire, un pays qui vit au rythme d'arrangements politiques et de résolutions de l'ONU depuis le déclenchement de la crise politico-militaire de 2002, il s'avère nécessaire de dire la vérité au peuple de Côte d'Ivoire.
QUELLE EST CETTE VERITE A DIRE AUX IVOIRIENS, AUX CHEFS TRADITIONNELS, RELIGIEUX ET SURTOUT AUX JEUNES DU FPI ?
LA VERITE SURTOUT SUR :
1- le rôle du représentant spécial de l'ONU et sa mission de certification des résultats du processus.
Tout prend sa source dans l'Accord de Pretoria signé le 6 avril 2005 par les parties ivoiriennes sous la médiation de Thabo Mbeki. Conscientes des difficultés et sensibilités liées aux élections, les parties signataires ont demandé, à l'unanimité, au médiateur de soumettre une requête à l'ONU pour une participation active au processus électoral. Une doléance inscrite au point N° 10 de l'Accord de Pretoria que voici :
«Les parties signataires du présent accord sont conscientes des difficultés et sensibilités liées aux élections. En vue d`assurer l`organisation d`élections libres, justes et transparentes, elles ont admis que les Nations Unies soient invitées à prendre part aux travaux de la Commission Electorale Indépendante. A cet effet, elles ont donné mandat au Médiateur, Son Excellence Monsieur Thabo Mbeki, d`adresser une requête aux Nations Unies, au nom du peuple ivoirien, en vue de leur participation dans l`organisation des élections générales. Les parties demandent que la même requête soit adressée aux Nations Unies en ce qui concerne le Conseil Constitutionnel. Les Nations Unies doivent s`assurer à ce que leur mission d`intervention sollicitée soit appuyée par un mandat et des pouvoirs appropriés à l`accomplissement de leur mission».
Chers ivoiriens voici un pan de ce que Gbagbo notre président a Signé !
C'est ce document que OBAMA, SARKOZY , MEVDEDEV, ZUMA , et tous les pays du monde entier ont sur leur table de décision.
C'est Suite à cette doléance des parties ivoiriennes, à l'initiative de GBAGBO sur le conseil avisé d'Alcide Djédjé que, le 13 avril dernier 2006 le Secrétaire général écrit au Conseil de sécurité pour l'informer de la nomination de Gérard Stoudmann de la Suisse, au poste de Haut Représentant pour les élections (HRE) en Côte d'Ivoire. Une décision adoptée par le Conseil de sécurité qui exige le respect de la souveraineté de l'Etat ivoirien au diplomate suisse. S'il est vrai que ce dernier ne doit pas s'ingérer dans les affaires intérieures, mandat lui est donné de certifier le processus électoral.
En 2007, après le départ de Stoudmann motivé par Gbagbo qui avait du mal à accepter ce mandat de supervision tel que défini dans la résolution 1721 du Conseil de sécurité de l'ONU, la certification du processus électoral est confié au représentant spécial du secrétaire général de l'ONU, Young Jin Choï.
Pour votre information, après le départ de Stoudmann, c'est le sieur Alcide Djédjé lui -même qui a suggéré le nom de Choi à Ban Ki moon. Pensant mieux le « maîtriser ».
Alcide Djédjé rassure donc GBAGBO d'accepter les termes de la résolution 1751 de l'ONU et de faire confiance à son ami et pote Young J Choi.
2- Le mandat de supervision que lui confère la résolution 1721 lui donne le droit d'attester de la véracité des résultats où de les contester.
En clair, c'est à lui que revient le dernier mot. Il est le dernier habilité à donner les résultats définitifs et cela, après que le Conseil constitutionnel ait prononcé son verdict. Toutes les parties signataires de l'Accord de Pretoria étaient conscientes de la grande responsabilité qu'elles léguaient au représentant de l'ONU. Une première dans la mission de l'ONU. Et le secrétaire général de l'ONU l'a si bien précisé :
«Toutes les parties ivoiriennes, en l'acceptant, ont la nécessité de maintenir la responsabilité des Nations unies pour ce qui est de lacertification internationale du processus électoral».
Comme sa mission essentielle est de garantir la paix, la stabilité et la prospérité des Etats et surtout que les parties ivoiriennes ont fait de lacertification internationale un préalable au retour définitif de la paix après les élections, l'ONU s'est donc pliée aux exigences du peuple ivoirien.
Ce qui veut dire que GBAGBO a donné le sifflé d'arbitrage et remis entre les mains de l'ONU la « souveraineté » de la COTE D'IVOIRE sur conseil d'Alcide Djédjé. C'est la raison pour laquelle il s'est précipité à la télé/RTI pour dire des choses qu'aucun élève diplomate sensé n'aurait pu dire en de pareille circonstance. Il l'a fait pour mettre en confiance GBAGBO. Mais c'etait peine perdue. Il avait déjà trompé notre président, il fallait le maintenir dans cette logique.
Oui , toujours lui Alcide Djédjé !!! allez y vous renseigner auprès d'ESSIS Amara, il vous dira qui est en réalité Alcide Djédjé qui reconnait avoir formé ; mais qui a de nombreux travers. à gommer en diplomatie. Il n'était pas encore aguerrit pour ce poste à l'ONU dans une situation de crise pareille.
Aussi, ce que n'a pas manqué de souligner Choï lors de sa conférence de presse du mercredi dernier : «Comme certificateur des élections ivoiriennes, je ne fais que le travail qui a été accepté par les autorités ivoiriennes. En termes de certification des élections par les Nations Unies, la Côte d'Ivoire est le premier cas en Afrique. Les Nations Unies n'ont pas sollicité une telle responsabilité. Les dirigeants ivoiriens ont demandé aux Nations Unies de jouer ce rôle suite à l'Accord de Pretoria de 2005. Il s'agit là d'une responsabilité solennelle des Nations Unies envers le peuple ivoirien, qui a droit à la paix, à la stabilité, à la prospérité et au respect de sa volonté».
Cette tâche, il l'a assumée lors du premier tour de la présidentielle. Après que le Conseil constitutionnel se soit prononcé, Choï a certifié les résultats. A l'occasion, il a même reçu les félicitations de tous les candidats. Alors d'où vient la contestation au second tour ? Parce que Gbagbo a perdu ? Indéniablement.
Mais la bonne foi, le bon sens et l'intelligence l'auraient pu guider. Il est conscient que la responsabilité des résultats définitifs dans l'élection de Côte d'Ivoire revient à l'ONU. Il a signé ce document et accepté la résolution précitée.
Il doit le leur dire pour que cessent enfin les souffrances des Ivoiriens et que les tueries s'arrêtent.
GBAGBO n'a pas eu le courage de nous dire cela !!! sous la pression des William Atteby, Simone, Douati, Seri bailly, Affi Nguessan et autres faucons de son parti.
Laurent Dona FOLOGO qui est d'une lucidié éclairante, sait très bien cet aspect des choses et l'a rappelé à Gbagbo. en des termes très clairs : « Président ! nous jouons gros sur ce coup faisons attention. ».
Jeunes de Cote d'Ivoire, chefs traditionnels de cote d'ivoire, voici ce que GBAGBO ne vous dira jamais ! Il viendra vers vous ces temps -ci vous raconter des histoires à dormir debout. Un chef du village, un Roi n'a qu'une seule parole lorsqu'il prend un engagement. Si vous cautionnez cela c'est que vous aussi êtes un chef sans parole. or c'est par la parole donnée à vos ancêtres que vous êtes chefs et rois dans votre village.
Young J Choï ne fait nullement de l'ingérence. Il n'a fait que le travail que lui ont confié les Ivoiriens en 2005 avec l'Accord de Pretoria.
Alcide Djédjé ne peut pas dire qu'il ne le savait pas. Il aurait pu lui aussi sortir grandi de cette affaire.
Mais ignorant qu'il est, il a préféré trompé GBAGBO en lui conseillant de choisir cette voie sans issue. De toute façon, il n'a jamais réussi à faire les aspirations de son pays durant tout le temps qu'il a passé à l'ONU en tant qu'Ambassadeur Ivoirien.
Voici comment des gens ont trompé GBAGBO et continueront de le tromper jusqu'à ce qu'un matin on apprenne qu'il est en route pour le TPI en Hollande dans le froid glacial.
Quand on signe de tels accords au plan international et qu'on demande aux occidentaux de venir organiser nos élections (dont le coût avoisine la somme de 530 milliards de fcfa) et de les certifier, on ne renie pas sa signature au dernier moment.
C'est Alcide Djédjé qui a menti à GBAGBO qui était sur le point d'appeler ADO pour le féliciter de sa victoire.
Gbagbo a menti aux Ivoiriens et il continue à le faire. Mais les textes sont encore-là et toujours vérifiables.
Chers frères, chers parents, chers camarades, chers amis, chers chefs traditionnels et rois, chers chefs religieux voici comment GBAGBO a été trompé par Alcide Djédjé. et Yao Ndré paul.
Comment allons-nous faire pour le sortir de ce beau drap ?
La réponse est entre les mains de SIMONE Gbagbo et ADO.
Les émissions et jérémiades de AWA EHOURA et BROU AMESSAN à la RTI ne nous conduirons en rien. Bien au contraire ; à creuser le fossé entre le peuple et le LMP.
Voici ce qui est de la vérité toute claire et simple que vous devez savoir et que nous nous permettons de vous dire.
L'avenir de la COTE D'IVOIRE est entre les mains d'un menteur d'Alcide Djédjé qui a engouffré le PR dans une situation intenable.
Président envoie des émissaires auprès d'OBAMA et dit lui de te trouver une porte de sortie honorable. Un vrai bété a ceci de particulier : reconnaître quand il s'est trompé et tendre la main à son adversaire et lui céder le passage.
Prési envoie Mamadou Coulibaly et FOLOGO rencontrer ADO et Bédié et trouve-toi une porte de sortie honorable et laisse-nous le combat pour les législatives.
A suivre les Alcide Djédjé et consorts qui voient leurs petits privilèges s'évaporer, président, tu nous conduis tous, sans exception, à l'abattoir politique car ton départ dans des « circonstances bizarres » marquera la fin définitive du FPI en COTE D'IVOIRE.
La Phase de silence de tous ses présidents et chefs d'états n'augure pas une victoire pour ce « coup de force » mais plutôt des jours sombres pour toi et nous tes militants et sympathisants. Le FPI nous appartient à nous tous et non à alcide Djédjé et Affi Nguessan.
OURAGA R Un Militant FPI/ cadre de Gagnoa
Mouvement J'aime Gbagbo.
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